Les Korrigans

Selon Wikipedia, le Korrigan est une créature légendaire de Bretagne, comparable au lutin français. Bienveillant ou malveillant selon les cas, il peut faire preuve d'une extrême générosité, mais est capable d'horribles vengeances.
Les korrigans font aussi partie du petit peuple, ce sont des esprits prenant l'apparence de nains dans la tradition celtique, et en particulier bretonne. Leur apparence est variée, ils peuvent être dotés d'une magnifique chevelure et d'yeux rouges lumineux, à l'aide desquels ils sont censés ensorceler les mortels ou être décrits comme étant petits, noirs et velus, coiffés de chapeaux plats avec des rubans de velours, les filles étant coiffées de bonnets violets. Pierre Dubois les décrit comme des nains cornus hauts d'une à deux coudées, aux pieds de boucs, aux sabots de fer et aux griffes de chat.
Les contes les situent le plus souvent dans des grottes, les tumuli ou encore dans des dolmens. Mais ils hantent également les sources, les fontaines ou les landes du pays breton.
On leur attribue les ronds de sorcières qu'on trouve parfois sur les prés ou dans les sous-bois. On dit qu'ils y font cercle pour danser à la tombée du jour. Au mortel qui les dérange, il arrive qu'ils proposent des défis qui, s’ils sont réussis, donnent le droit à un vœu (ce qui est en général le cas pour les hommes bons) mais qui peuvent, en cas d'échec, se transformer en pièges mortels menant tout droit en enfer ou dans une prison sous terre sans espoir de délivrance.

In Breton folklore, a Korrigan is a fairy or dwarf-like spirit, the word meaning "small-dwarf". 
Korrigans have beautiful hair and red flashing eyes. They are sometimes described as important princesses or druidesses who were opposed to Christianity when the Apostles came to convert Brittany. They hate priests, churches, and especially the Virgin Mary. They can predict the future, change shape, and move at lightning speed. Like sirens and mermaids, they sing and comb their long hair, and they haunt fountains and wells. They have the power of making men fall in love with them, but they then kill the ones who do. In many popular tales, they are eager to deceive the imprudent mortals who see them dancing or looking after a treasure, and fond of stealing human children, substituting them with changelings.